Tchad. Chroniques d'une histoire sans fin (2)
La rebellion tchadienne se réorganise et prépare ses troupes - (Source APA)
Les rebelles tchadiens, réunis au sein d’une nouvelle organisation, l’UFR (Union des forces de la résistance), complètent ce lundi et mardi, le bureau exécutif de leur nouveau regroupement, avant de brasser leurs troupes, ce qui augure d’une éventuelle reprise des hostilités. Des sources indiquent même que des colonnes rebelles ont commencé à s’infiltrer, à partir du Soudan, à l’intérieur du territoire national. Il y a deux jours, les différents mouvements rebelles signataires de l’acte de naissance de l’UFR, portaient à leur tête Timane Erdimi, neveu du Président Déby Itno et leader du mouvement rebelle, le Rassemblement des forces pour le changement (RFC).
L’arrivée de M. Erdimi a surpris plus d’un observateur car le RFC ne fait pas le poids devant les autres mouvements comme l’UFDD du Général Nouri, l’UFCD du Colonel Adouma Hassaballah, le FSR du Colonel Ahmat H. Soubiane, le FPRN du Colonel Adoum Yacoub Kougou et le MPRD du Colonel Djibrine Dassert. Ancien directeur de cabinet de son oncle de président, Timane Erdimi, à la fois craint et courtisé, a été pendant quinze ans durant l’éminence grise d’Idriss Déby Itno au point de passer pour le Raspoutine du Palais Présidentiel. Directeur général de la Cotontchad, la société cotonnière du Tchad, la plus grosse unité industrielle du pays, Timane Erdimi tenait aussi un des cordons de la bourse.
Son frère frère jumeau, Tom Erdimi, aujourd’hui à Houston(USA), régnait sur le pétrole, l’autre mamelle de l’économie tchadienne, au poste de coordinateur national du Projet Pétrole.
Les frères Erdimi se contentèrent bien de ces postes stratégiques jusqu’à ce mois de mai 2004 quand ils décidèrent de renverser leur oncle, le président Idriss Déby Itno. Le coup d’Etat échoua et les frères Erdimi tombèrent en disgrâce avant de regagner le maquis de l’Est du Tchad pour lancer une rébellion.
Jusqu’à récemment, le RFC des frères Erdimi comptait parmi les mouvements rebelles les plus puissants mais le travail de sape des différents émissaires du régime réussit à l’affaiblir avec des ralliements au président Déby Itno. En hissant Erdimi à la tête de la rébellion, les différents chefs rebelles ont cherché à créer des défections dans les derniers carrés de fidèles du président Déby Itno. Erdimi à la tête du nouveau regroupement rebelle, les postes de premier et deuxième vice président ainsi que celui des responsables de la Défense, des relations extérieures et des finances devraient revenir à l’UFDD du Général Nouri, l’UFCD du Colonel Adouma Hassaballah , de l’UFDD/F d’Abdelwahid About Mackaye et du FSR du Colonel Soubiane.
23/01/09. Timan Erdimi, élu président de l'ensemble de la rébellion - Afp
Le chef rebelle Timan Erdimi a été élu vendredi président l'Union des forces de la résistance (UFR), structure créée en début de semaine et qui rassemble les huit plus grosses factions rebelles tchadiennes, a appris l'AFP de sources concordantes au sein de la rébellion. Cette élection ne sera toutefois officialisée et ratifiée que samedi lors de l'élection du bureau exécutif du mouvement fraîchement créé.
Dirigeant du Rassemblement des Forces pour le Changement (RFC), Timan Erdimi a été élu "par consensus" alors que trois candidats étaient pressentis, dont Adoum Hassabalah de l'Union des forces pour le changement et la démocratie (UFCD), de même source. Le principal chef rebelle, le général Mahamat Nouri de l'Union des forces pour la démocratie et le développement (UFDD) et président de l'Alliance Nationale qui avait mené l'offensive sur N'Djamena en février 2008, a "lui-même proposé" Timan Erdimi, un des ses anciens principaux rivaux, selon une source de la rébellion.
Huit mouvements rebelles tchadiens ont mis fin à des mois de brouille pour créer l'UFR, dont l'objectif est de "libérer le peuple tchadien" et qui procèdera à des "préparatifs militaires". "L'UFR va nous permettre de mieux lutter contre le régime", avait déclaré lundi à l'AFP Timan Erdimi, assurant que l'objectif était de "renverser le régime d'Idriss Deby". Les mouvements négociaient depuis cinq mois.
Un mouvement uni de rébellion, l'Alliance nationale (AN) dirigée par le général Mahamat Nouri, avait mené en février 2008 une offensive sur N'Djamena et avait été tout près de renverser le régime du président Idriss Deby Itno, acculé à son palais. Des divergences étaient alors apparues au sein du camp rebelle pour désigner un chef et les rebelles avaient finalement été repoussés.
D'ethnie Zaghawa comme Idriss Deby Itno, Timan Erdimi a notamment été directeur du cabinet de l'actuel président tchadien. Il a également dirigé Coton Tchad. Son frère jumeau Tom a aussi été un des hauts fonctionnaires du régime de Deby dans les années 1990, s'occupant notamment du pétrole. Timan Erdimi s'était brouillé avec Deby en 1996. Il avait notamment crée avec son frère le SCUD (Socle pour le changement, l'unité nationale et la démocratie, puis le Rassemblement des Forces démocratiques (RaFD) et enfin le RFC.
Selon des observateurs avisés, les combats entre les troupes de Timan Erdimi, qui a notamment participé à l'offensive sur N'Djamena en 2008 avant de la claquer la porte de l'AN, sont toujours particuliers puisqu'ils opposent des combattants appartenant parfois à la même famille. Les Zaghawas, dont une partie vit au Darfour, participent également à la rébellion dans ce territoire soudanais et il est probable que Timan Erdimi n'était pas le favori du président soudanais Omar el-Bechir, qui a souvent été un bailleur de fonds de la rébellion tchadienne.
24/01/09. Tchad: Timan Erdimi élu président de l'ensemble de la rébellion - Af
Le chef rebelle Timan Erdimi a été élu président l'Union des forces de la résistance (UFR), structure qui rassemble les huit plus grosses factions rebelles tchadiennes, fondée en début de semaine, a annoncé l'UFR dans un communiqué transmis samedi à l'AFP. "Les mouvements de la résistance nationale du Tchad, membres de l'Union des Forces de résistance, réunis du 22 au 24 janvier 2009 à Hadjer Marfain, ont procédé à la désignation par consensus du président de l'UFR. Le camarade Timan Erdimi a été élu président", affirme le communiqué qui précise que "le reste du bureau du bureau exécutif sera formé incessamment".
Hadjer Marfain est une ville qui se trouve à cheval sur la frontière tchadienne et soudanaise et porte le même nom dans les deux pays. "Cette étape si importante pour l'opposition armée tchadienne est une chance pour notre lutte et un espoir pour l'ensemble du peuple tchadien", indique le communiqué lu à l'AFP par le président de séance Abderraman Koulamallah, membre de l'Union démocratique pour le changement (UDC), "L'UFR s'engage, dès le renversement de la dictature, à mettre en place un pouvoir libre et démocratique conforme aux aspirations du peuple tchadien. Elle appelle tous les opposants à la rejoindre pour mettre fin au régime à bout de souffle d'Idriss Deby", conclut le communiqué. Des sources concordantes au sein de la rébellion avaient fait part à l'AFP de la désignation de M. Erdimi vendredi en soirée par ses pairs mais l'élection officielle a eu lieu samedi
24/01/09. UFR: Communiqué de presse
Les mouvements de la résistance nationale tchadienne, membres de L'union des Forces de résistance (UFR) réunis du 22 au 24 janvier 2009 à Hadjer Marfain ont procédé à la désignation par consensus du président de l'UFR. Le camarade Timan Erdimi a été élu président. Le reste du bureau du bureau exécutif sera publié incessamment. Cette étape si importante pour l'opposition armée tchadienne est une chance pour notre lutte et un espoir pour l’ensemble du peuple tchadien. L'UFR s'engage, dès le renversement de la dictature, à mettre en place un pouvoir libre et démocratique conforme aux aspirations du peuple tchadien. Elle appelle tous les opposants à la rejoindre pour mettre fin au régime décadent et à bout de souffle d'Idriss Deby.
Pour les mouvements de l'UFR Le président de séance Abderaman Koulamalla
24/01/09. Le CNR apporte son soutien à l’UFR.
Après le manifeste politique, les mouvements politico-militaires : CDR, FPRN, FSR, RFC, UFCD, UFDD et UFDD-F, dans un esprit patriotique, viennent de franchir un pas important vers une réelle réunification du mouvement national en lutte contre la dictature. Cette dynamique unitaire constitue incontestablement une prise de conscience des dirigeants de l’opposition que sans une vraie unité, il ne peut y avoir ni de victoire sur les forces du mal, ni d’alternance politique au Tchad.
Depuis 18 ans, les Tchadiens attendent un vrai changement, un vent d’air frais, bref, un véritable soulagement de leurs conditions de vie misérables. Ils ont fondé tous leurs espoirs sur la résistance armée car le régime dictatorial et clanique de Deby ne comprend, hélas, que le langage des armes.
Les Tchadiens, comme tous les autres peuples aspirent à la paix, à la démocratie, à la justice et à la pleine et équitable jouissance de leurs ressources. Ces aspirations bien fondées ne peuvent se réaliser que dans un État de droit où les valeurs républicaines priment sur la conception actuelle du système politique de Deby basée sur la corruption, les détournements des deniers publics, le favoritisme, l’incompétence, le bradage des ressources, la fracture sociale, la déliquescence de l’administration, le “bafouement” de la souveraineté et de la dignité nationales…; bref, un État- razzia. Dans un État où le citoyen doit être jugé et apprécié non selon son appartenance ethnique, clanique, religieuse ou son degré de délinquance mais selon ses valeurs intrinsèques, ses compétences et sa probité.
Les attentes de notre peuple sont certes énormes et justifiées. Cependant, elles ne pourront être satisfaites miraculeusement par le simple renversement de la dictature clanique, abjecte et dévalorisante mais en opérant de profonds changements à ce système politique maffieux, instauré par le MPS depuis 1990 et qui avilit le citoyen tchadien. Nous ne pouvions y parvenir qu’en conjuguant nos efforts dans un esprit d’unité, d’abnégation et de nationalisme. Aujourd’hui, avec la création de l’Union des Forces de la Résistance (UFR), le 18 janvier 2009, se pointe à l’horizon une grande opportunité de battre ensemble la dictature qui sévit dans notre pays depuis bientôt deux décennies et œuvrer pour la mise en place des conditions propices à l’instauration d’une vraie République démocratique et à la conquête de l’indépendance réelle du Tchad.
Face à cette dynamique unitaire, le Conseil national de redressement du Tchad (CNR), fidèle à ses principes politiques qui ont toujours prôné l’unité du mouvement national de la résistance ne peut que se réjouir de la naissance de l’UFR et lui apporte son soutien politique, humain et matériel. Le CNR lance donc un appel solennel à tous ses militants et sympathisants à apporter leur aide à l’UFR par tous les moyens afin de contribuer efficacement à la victoire des forces nouvelles du changement. Par la même occasion, nous invitons vivement les forces de l’armée nationale tchadienne, qui servent de chair à canon au dictateur Idriss Deby, de prendre leurs responsabilités devant l’histoire et devant le peuple en refusant de défendre le despote et de s’en tenir strictement à leur mission salvatrice : la défense de la patrie en danger.
Vive l’unité du mouvement national de la résistance! Vive le Tchad libre, républicain, démocratique et socialement avancé! Fait à Ottawa le 24 Janvier 2009 Dr. Bichara Idriss Haggar Président du CNR
24/01/09. Deby refuse de recevoir une délégation de l'ONU - RTL
Le président tchadien Idriss Deby Itno n'a pas reçu une délégation du Conseil de sécurité de l'ONU qui était en visite vendredi soir et samedi matin dans son pays, une attitude jugée "risquée" par une source diplomatique faisant partie de la délégation. Officiellement, le président Deby n'était pas dans le pays, mais de source diplomatique, on a indiqué qu'il était rentré vendredi soir d'une visite secrète en Libye et s'estimait "trop fatigué" pour recevoir la délégation des 15 pays membres du Conseil de sécurité en tournée dans la région. "C'est la première fois qu'un président ne reçoit pas la délégation", a souligné une source diplomatique. "En faisant cela et dans la situation dans laquelle il (le président Deby) se trouve, il prend des risques" à l'égard de sa relation avec la communauté internationale, a estimé cette source. La délégation a toutefois été reçue la veille au soir par le Premier ministre Youssouf Saleh Abbas, qui a formé fin avril un gouvernement "d'ouverture" auquel participent des membres de la CPDC, la principale coalition d'opposition.
"Nous avons reçu l'assurance du Premier ministre que des efforts sont faits pour poursuivre le dialogue avec le Soudan. Nous avons insisté sur la nécessaire poursuite de la réconciliation interne au Tchad et de l'amélioration de la situation des droits de l'Homme", a affirmé à l'AFP un membre de la délégation. "De la même manière que nous l'avons fait à Khartoum, nous avons demandé au gouvernement tchadien d'exercer la plus grande retenue" dans les relations tchado-soudanaises, a-t-il ajouté.
Arrivée vendredi au Tchad, la délégation s'est rendue dans l'est du pays pour rencontrer des soldats de l'Eufor, la force européenne déployée dans le pays et le nord de la Centrafrique et visiter des camps de réfugiés. La délégation est repartie tôt samedi pour Kinshasa. Le président Deby avait failli être renversé début février par une attaque rebelle qui, partie de bases arrière au Soudan, avait atteint N'Djamena. Plusieurs organisations ont dénoncé de nombreuses violations des droits de l'Homme dans le sillage de l'attaque. Une commission d'enquête est chargée de faire la lumière sur tous ces événements. Fin avril, l'investiture du gouvernement de M. Abbas, ex-conseiller diplomatique de M. Deby mais aussi ancien rebelle rallié, avait été considérée comme un signe d'ouverture par les observateurs et des diplomates étrangers, dont le haut représentant de l'Union européenne (UE) pour la politique de sécurité Javier Solana.
24/01/09. Tchad: N'Djamena accuse le Soudan de continuer à soutenir les rebelles - Afp
Le gouvernement tchadien a accusé lundi le Soudan de continuer à soutenir les rebelles tchadiens en affirmant que Khartoum a participé à la création le 18 janvier de l'Union des forces de la résistance (UFR), qui réunit toutes les principales factions rebelles. "Le gouvernement tchadien prend à témoin l'opinion nationale et internationale de la forfaiture que vient de commettre le Soudan à travers sa tentative de colmater les rangs de ses affidés", selon un communiqué transmis à l'AFP. "C'est au bout d'une longue et pénible réunion organisée à Khartoum qu'a été annoncée une nouvelle composition (l'UFR, ndlr) destinée à déstabiliser le Tchad", affirme le gouvernement. "Cette nouvelle alliance créée au forceps confirme la poursuite au grand jour par le régime de Khartoum de ses entreprises contre la paix au Tchad, en violation des engagements pris à Dakar, à Asmara, à Tripoli et à N'Djamena devant les pays frères et voisins et devant l'Union africaine (UA)", poursuit-il, en référence à différents accords signés. N'Djamena, qui affirme qu'il "ne se laissera pas surprendre par des telles manoeuvres", compte sur la "prompte réaction des chefs d'Etat médiateurs notamment du groupe de contact, de l'UA et de l'ensemble de la communauté internationale pour couper court aux préparatifs belliqueux de Khartoum", conclut le communiqué.
Souvent minés par les conflits internes, les huit plus grands mouvements rebelles tchadiens ont fondé le 18 janvier l'UFR avec comme objectif de "renverser le régime d'Idriss Deby Itno". C'est la première fois qu'autant de mouvements sont réunis dans la même structure, présidée désormais par Timan Erdimi. Les négociations préalables ont duré près de cinq mois et ont lieu au Soudan. La fondation de l'UFR a officiellement eu lieu à Hadjer Marfain, ville qui se trouve à cheval sur la frontière entre le Tchad et le Soudan et porte le même nom dans les deux pays.
Le Tchad et le Soudan s'accusent mutuellement de soutenir des rébellions chez leurs voisins. Chaque pays s'est engagé à plusieurs reprises notamment lors d'accords signés "à Dakar, à Asmara, à Tripoli" à ne plus financer ou soutenir de mouvements rebelles. Le Soudan est considéré par de nombreux observateurs comme le principal bailleur de fonds et soutien des rébellions tchadiennes.
25/01/09. Forum des Exilés Tchadiens d’Afrique Centrale (FETAC): Communiqué de presse n°002/CSC/CC/2009
Le Conseil Supérieur de Coordination du Forum des Exilés Tchadiens d’Afrique centrale, tient à informer l’opinion tchadienne et internationale, qu’il vient de mettre en place un mouvement politico-militaire dénommé Forces Progressistes pour l’Indépendance et la Renaissance (F.P.I.R). A cet effet, un front est ouvert au sud du Tchad. Les organes dudit mouvement ainsi que la liste des membres seront publiés dans les jours qui suivent. Par conséquent, le FETAC compte sur la participation de tous les citoyens tchadiens dans les actions futures du nouveau mouvement. Fait à Douala le 25 janvier 2009
Pour le Conseil Supérieur de Coordination La vice-présidente Monique Dénéhodjimbaye copposition@yahoo.fr
26/01/09. Communiqué de presse du Site Tchadespoir
Tchad:Rétablissement du Site Tchad Espoir après le coup des adversaires de la libération du peuple de la tyrannie du dictateur Déby.
La Rédaction de Tchad Espoir informe les internautes et le peuple tchadien du rude coup porté par nos adversaires et leurs alliés contre notre site. En effet, depuis près d’une semaine, le 20 janvier dernier, notre site fut subitement interrompu malgré nos multiples insistances et les vaines promesses d’un rapide rétablissement. Cette curieuse coïncidence serait à mettre en parallèle avec le récent tournant décisif de la lutte du Peuple tchadien contre le dictateur Déby, en l’occurrence le pas de géant fait par les Leaders des Forces de résistance en créant l’Union des Forces de la résistance (UFR). Notre ligne éditoriale résolument engagée contre le dictateur Déby, ses alliés et ses taupes infiltrées au sein de l’opposition d’une part et d’autre part notre soutien sans retenue aux Forces de résistance de l’Est, nous attirent la furie guerrière de ces ennemis des Masses populaires tchadiennes. Ce jour 26 janvier 2009 à 11heures 35 le site Tchad Espoir a été rétabli après une énième démarche auprès des responsables de l’hébergement du site. Cette normalisation reste néanmoins partielle car l’accès à certaines fonctions telle que notre courriel (Contact@tchadespoir.net) reste impossible. Aucune explication nous a été fournie pour cette censure car l’ordre venait « d’ailleurs » nous a-t-on dit. Nous poursuivons les démarches pour le rétablissent complet et total de toutes les fonctions du site.
Chers Internautes et chers Compatriotes, nous ne trahirons pas la confiance que vous avez placée en nous. Le site Tchad Espoir reste et restera votre avocat contre la tyrannie de Déby. Soyez assurés que notre combat contre le dictateur Déby et notre soutien aux Forces de résistance nationale de l’UFR ne varieront pas d’un pouce jusqu’au très prochain anéantissement du criminel Déby et de son régime.
Hommage aux Patriotes combattants de la liberté de l’Union des Forces de la Résistance (UFR) dont Tchad Espoir restera la tribune et l’un des meilleurs Avocats.
Vive la résistance nationale armée pour que vive un Tchad libre, démocratique et de justice sociale.
Le 26 janvier 2009. La Rédaction de Tchad Espoir